Dans un précédent article (La résonance morphique), je vous ai parlé de « la théorie du centième singe ».
Dans le même esprit, je me suis rappelé d’une parabole qui m’avait beaucoup plu et que j’avais reliée tout naturellement à la notion d’égrégore, de résonance morphique… Je l’ai retrouvée et je vous la propose ici.
Mais auparavant, permettez-moi de vous citer un extrait de mon livre « LE GUIDE ET LE MUSICIEN ou la vie est une école » qui s’y rapporte également (pour une meilleure compréhension, je précise que ce livre est écrit sous forme de roman).
(…) « - En fait, voyez-vous, nous pourrions définir l’égrégore comme une sorte d’entité collective qui serait créée par la somme des pensées des individus qui composent un groupe. La pensée est une énergie, qui pourrait sans doute être quantifiée si nous possédions des instruments de mesures scientifiques suffisamment sophistiqués. Cela viendra certainement un jour.” (...) “Nous pouvons donc imaginer qu’une pensée est une bulle d’énergie, qui a une forme, une couleur, mais dans des fréquences que ne peuvent capter nos yeux physiques.
(…) Si vous émettez la même pensée d’une manière répétitive, ou si plusieurs personnes émettent la même pensée, il va alors se créer plusieurs bulles d’énergie de même nature. Ces bulles d’énergies, étant de même fréquence vibratoire, seront attirées les unes vers les autres et vont donc s’agglutiner ensemble pour former une plus grosse bulle d’énergie qui sera donc plus puissante. Et cette grosse bulle d’énergie se trouvera attirée par une autre bulle de même nature dans laquelle elle se fondera ...etc.
(...) – Mais bien sûr que nous avons la possibilité d’intervenir, répondit Adrien. D’abord, réfléchissez à ceci : si une fleur peut faner sous l’effet de la colère, et ceci a été démontré par de nombreuses expériences, nous pouvons facilement penser que le monde peut tomber malade sous l’effet de la haine globalement répandue.
Voyez-vous, depuis que je suis tout jeune, j’ai toujours eu la conviction profonde, sans pouvoir l’expliquer jusqu’à ce que je comprenne cette notion d’égrégore, que si la majorité des individus de notre planète n’avait que des idées de paix, d’amour, de fraternité, une guerre ne pourrait jamais être déclarée n’importe où dans le monde, même par une minorité mal pensante. L’idée même de la guerre ne pourrait exister. Mais de la même façon, si une majorité d’hommes ou de femmes ont des pensées de jalousie, de colère, de haine, nous avons toutes les chances de mener notre civilisation au désastre.
- Si j’ai bien compris, dit Jérôme, plus il y aura de gens qui auront de bonnes pensées, plus l’égrégore positif sera puissant, plus l’humanité en sera influencée, donc plus la paix aura de chance de régner sur la terre.
- Tout juste ! Lorsque l’on sait, continua Adrien, qu’un égrégore exerce son influence sur le monde, c’est-à-dire que chaque individu va en ressentir ses vibrations, bonnes ou mauvaises, et en sera imprégné, nous voyons à quel point nous avons tous un rôle à jouer dans l’évolution de la planète. Plus l’égrégore de paix, d’amour, de fraternité, de tolérance que nous avons pour devoir de renforcer sera puissant, plus son influence sera importante et plus l’égrégore négatif perdra de son impact.”
Voici maintenant cette parabole :
Le 3 741 952 ème flocon de neige
Une parabole moderne
Auteur inconnu
« – Dis-moi combien pèse un flocon de neige ? » demanda une mésange à une colombe sauvage.
« – Rien de plus que rien » fut la réponse.
« – Dans ce cas-là, je dois te raconter une histoire merveilleuse » dit la mésange.
« – J’étais assise sur une branche de sapin, près du tronc, quand il a commencé à neiger tout doucement, sans tempête, comme dans un rêve, sans la moindre violence.
« – Comme je n’avais rien d’autre à faire, j’ai compté les flocons de neige qui se déposaient sur les brindilles et les aiguilles de ma branche.
« – Il y en avait exactement 3 741 951. Quand le flocon suivant s’est déposé, rien de plus que rien, comme tu dis, la branche s’est cassée. »
Ayant dit cela, la mésange s’enfuit.
La colombe, une autorité en la matière depuis le temps de Noé, se mit à réfléchir à cette histoire quelques instants… Et murmura :
« Peut-être manque-t-il une seule personne pour que LA PAIX SE FASSE DANS LE MONDE ! »
Vous voyez le rapport avec le 3 741 952ème flocon ?
Alors, il suffirait peut-être ... d’une personne de plus, comme pour les flocons de neige ?
Merci de m’avoir lu jusqu’au bout…
Bonjour Michel,
Bravo pour ce texte qui exprime le courant de pensée (positive) qui commence à ré-Unir le Monde…. Tout comme l’exprime Pierre Rabhi avec l’image du colibri qui fait sa part:
https://www.youtube.com/watch?v=nQ9fCekVr8o, merci de participer à l’éveil des consciences !!